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[Série TV] L'héritage d'AB Productions
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Ah mais je vous demande pas de me convaincre. Je sais que beaucoup de monde aime cette série, mais je voulais juste indiquer aux nouveaux spectateurs que c'était pas non plus unanime. Perso, je n'ai pas aimé à l'époque, et je n'en garde pas un bon souvenir.
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Sable&Soleil en pdf ou sur lulu, Cthulhu Blanc, un lanceur de dés en ligne qui permet de partager les résultats pour Warhammer 3 et Star Wars FFG, tout ça sur mon petit coin d'internet.
Sinon, je peins des figurines.
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Après Arcane tout paraît un peu fade, mais au moins j'ai pu avancer dans quelques séries que je devais reprendre ou finir.
Umbrella Academy saison 4, c'était vraiment pour finir la série plus qu'autre chose, globalement j'ai envie de dire "Une purge" mais en vrai même pas, c'est d'un plat et on voit qu'à un moment les créateurs se sont dit "Nan mais faut achever la bête" et décident de tout foutre par la fenêtre au dernier épisode.
Bref. Une saison 1 qui commençait très très bien avant de partir en vrille, une saison 2 qui a jamais réussi à se trouver, une saison 3 qui a su garder quelques moments d'une qualité surprenante dans un gros bazar mal ordonné, et une saison 4 parce qu'il fallait en finir mais où rien n'a d'importance.
J'entendais beaucoup dire de Castlevania Nocturne qu'elle était décevante comparé à la première série, du coup moi j'ai été surpris en bien. Clairement on a jeté la trame (on va pas se mentir, de base pas super développée) de Rondo of Blood par la fenêtre mais on raconte une histoire plutôt prometteuse, la réécriture d'Annette est super, ça fait plaisir de voir Juste Belmont (mon héros préféré avec Soma Cruz) et les méchants ont peut-être des looks improbables mais ils arrivent quand même à bien intéresser.
Gravity Falls, très chouette dessin animé de Disney sur une fratrie originale dans un village paumé de l'Oregon hanté par des cryptides. J'adore l'humour et la façon d'interagir des personnages. Les intrigues sont de qualité variée et le metaplot final m'a un chouia déçu mais c'est resté un très bon moment en relativement peu d'épisodes.
Secret Level, la réponse d'amazon prime à Love Death + Robot, à thème sur les jeux vidéos en plus, bel appel du pied à la communauté geek. Une galaxie d'univers disponibles, d'ambiances ultra diverses, d'approches possibles... Ah en fait plus de la moitié des épisodes sont sur des variants de Counter Strike ? Bon...
Bah c'est plat et globalement inintéressant, on a plus l'impression de regarder une cinématique de lancement d'un jeu qu'un court métrage ayant un sens.
Mention quand même à l'épisode Warhammer 40 000, dans la droite lignée des cinématiques des jeux WH40k récents donc pas bien original mais clairement fidèle à l'esprit et avec des moments bien classés.
L'épisode d'Unreal Tournament est celui qui a fait le plus frétiller mon moi enfant interne de par ses easter eggs bien mis en scène.
Umbrella Academy saison 4, c'était vraiment pour finir la série plus qu'autre chose, globalement j'ai envie de dire "Une purge" mais en vrai même pas, c'est d'un plat et on voit qu'à un moment les créateurs se sont dit "Nan mais faut achever la bête" et décident de tout foutre par la fenêtre au dernier épisode.
Bref. Une saison 1 qui commençait très très bien avant de partir en vrille, une saison 2 qui a jamais réussi à se trouver, une saison 3 qui a su garder quelques moments d'une qualité surprenante dans un gros bazar mal ordonné, et une saison 4 parce qu'il fallait en finir mais où rien n'a d'importance.
J'entendais beaucoup dire de Castlevania Nocturne qu'elle était décevante comparé à la première série, du coup moi j'ai été surpris en bien. Clairement on a jeté la trame (on va pas se mentir, de base pas super développée) de Rondo of Blood par la fenêtre mais on raconte une histoire plutôt prometteuse, la réécriture d'Annette est super, ça fait plaisir de voir Juste Belmont (mon héros préféré avec Soma Cruz) et les méchants ont peut-être des looks improbables mais ils arrivent quand même à bien intéresser.
Gravity Falls, très chouette dessin animé de Disney sur une fratrie originale dans un village paumé de l'Oregon hanté par des cryptides. J'adore l'humour et la façon d'interagir des personnages. Les intrigues sont de qualité variée et le metaplot final m'a un chouia déçu mais c'est resté un très bon moment en relativement peu d'épisodes.
Secret Level, la réponse d'amazon prime à Love Death + Robot, à thème sur les jeux vidéos en plus, bel appel du pied à la communauté geek. Une galaxie d'univers disponibles, d'ambiances ultra diverses, d'approches possibles... Ah en fait plus de la moitié des épisodes sont sur des variants de Counter Strike ? Bon...
Bah c'est plat et globalement inintéressant, on a plus l'impression de regarder une cinématique de lancement d'un jeu qu'un court métrage ayant un sens.
Mention quand même à l'épisode Warhammer 40 000, dans la droite lignée des cinématiques des jeux WH40k récents donc pas bien original mais clairement fidèle à l'esprit et avec des moments bien classés.
L'épisode d'Unreal Tournament est celui qui a fait le plus frétiller mon moi enfant interne de par ses easter eggs bien mis en scène.
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- Gridal
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Top of the Lake : China Girl
Profitant de son arrivée dans le catalogue d'Arte, j'ai replongé dans la première saison de Top of the Lake, toujours aussi magistrale, et j'ai découvert la deuxième saison tardive (4 ans séparent les deux), China Girl. Sans y aller à reculons (totale confiance en Jane Campion), je doutais de l'utilité d'une suite et je me demandais bien ce que ça allait pouvoir raconter.
Quelques années après les événements de la première saison, Robin Griffin quitte la nouvelle-Zélande pour revenir en Australie et reprendre son poste de flic à Sydney. Elle enquête sur un corps de jeune femme asiatique retrouvé dans une valise et, dans le même temps, elle essaie de reprendre contact avec sa fille de 17 ans, née d'un viol et qu'elle avait abandonnée à la naissance.
Si Campion ne réalise que deux des six épisodes, elle est encore co-scénariste sur l'intégralité de la saison et ça se sent. On retrouve le ton de la saison précédente ainsi que les thèmes chers à la cinéaste : la masculinité toxique, les violences conjugales, l'emprise psychologique, le sexisme, le viol... Ici elle aborde en plus la prostitution et la GPA et, comme la première saison, c'est incroyablement prophétique des changements sociétaux qu'on a connu depuis MeToo (et dans la droite lignée des films de la réalisatrice comme La Leçon de piano, Holy Smoke, The Power of the Dog ou In the Cut). L'histoire est, encore une fois, extrêmement sombre et pessimiste, Robin s'en prend, encore une fois, plein la gueule (la scène des "retrouvailles" avec Al Parker, le flic de la première saison, est tétanisante), les personnages, même les pires salopards, et il y en a, sont complexes et profonds, mais on quitte les splendides paysages de Nouvelle-Zélande pour une enquête purement urbaine dans les rues de Sydney. Un vrai changement de cap ; si le fond est similaire, la forme se renouvelle totalement.
Pour finir, comme dans la première saison, le casting est fantastique. Elisabeth Moss reprend avec son immense talent le rôle principal, Nicole Kidman est géniale en mère adoptive hors-sol et David Dencik, que je ne connaissais pas, campe un salopard ultime. La grande (presque) découverte reste pour moi Gwendoline Christie, qui incarne ici une policière en uniforme, lunaire et à la sensibilité à fleur de peau, qui assiste Robin dans son enquête. J'avais découvert l'actrice en Lucifer Morningstar dans la série Sandman, où il lui suffisait de quelques courtes apparitions pour instantanément faire oublier Peter Stormare dans Constantine et l'autre endive de la série télé, là. Dans un rôle que Jane Campion a écrit pour elle, elle vole la vedette des scènes où elle apparaît. Un magnifique personnage.
Profitant de son arrivée dans le catalogue d'Arte, j'ai replongé dans la première saison de Top of the Lake, toujours aussi magistrale, et j'ai découvert la deuxième saison tardive (4 ans séparent les deux), China Girl. Sans y aller à reculons (totale confiance en Jane Campion), je doutais de l'utilité d'une suite et je me demandais bien ce que ça allait pouvoir raconter.
Quelques années après les événements de la première saison, Robin Griffin quitte la nouvelle-Zélande pour revenir en Australie et reprendre son poste de flic à Sydney. Elle enquête sur un corps de jeune femme asiatique retrouvé dans une valise et, dans le même temps, elle essaie de reprendre contact avec sa fille de 17 ans, née d'un viol et qu'elle avait abandonnée à la naissance.
Si Campion ne réalise que deux des six épisodes, elle est encore co-scénariste sur l'intégralité de la saison et ça se sent. On retrouve le ton de la saison précédente ainsi que les thèmes chers à la cinéaste : la masculinité toxique, les violences conjugales, l'emprise psychologique, le sexisme, le viol... Ici elle aborde en plus la prostitution et la GPA et, comme la première saison, c'est incroyablement prophétique des changements sociétaux qu'on a connu depuis MeToo (et dans la droite lignée des films de la réalisatrice comme La Leçon de piano, Holy Smoke, The Power of the Dog ou In the Cut). L'histoire est, encore une fois, extrêmement sombre et pessimiste, Robin s'en prend, encore une fois, plein la gueule (la scène des "retrouvailles" avec Al Parker, le flic de la première saison, est tétanisante), les personnages, même les pires salopards, et il y en a, sont complexes et profonds, mais on quitte les splendides paysages de Nouvelle-Zélande pour une enquête purement urbaine dans les rues de Sydney. Un vrai changement de cap ; si le fond est similaire, la forme se renouvelle totalement.
Pour finir, comme dans la première saison, le casting est fantastique. Elisabeth Moss reprend avec son immense talent le rôle principal, Nicole Kidman est géniale en mère adoptive hors-sol et David Dencik, que je ne connaissais pas, campe un salopard ultime. La grande (presque) découverte reste pour moi Gwendoline Christie, qui incarne ici une policière en uniforme, lunaire et à la sensibilité à fleur de peau, qui assiste Robin dans son enquête. J'avais découvert l'actrice en Lucifer Morningstar dans la série Sandman, où il lui suffisait de quelques courtes apparitions pour instantanément faire oublier Peter Stormare dans Constantine et l'autre endive de la série télé, là. Dans un rôle que Jane Campion a écrit pour elle, elle vole la vedette des scènes où elle apparaît. Un magnifique personnage.
- Ganelon
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Je reviens sur mon jugement lapidaire de Black Doves, c'est en fait très bien. Une juste mesure d'humour, du drame, du suspense, dommage que la suranguleuse Knightley ne joue pas aussi bien que Wishaw.
Cassos Nu
- KamiSeiTo
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
À l'aube de 2025 on en est encore à juger le physique des actrices (et des femmes en général) ?

Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Purée, nous on a maté le 4ème épisode hier soir, et on est à l'extrème limite de tout lacher.
Je dis pas que tout doit être parfaitement plausible, mais là on arrive dans le Nawak de compétition...
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Tu as encore une grosse couleuvre scénaristique à avaler avant la révélation finale qu'on avait tous vue venir qui mène à la prochaine saison.
Le mari de l'héroïne a de la peau de saucisson devant les yeux.
C'est la pire espionne, tout le monde sait qu'elle est espionne.
Et les cadavres s’amoncellent dans les rues de Londres sans que personne ne réagissent.
Avec le réseau CCTV de Londres, il doit exister 10 heures de film de l'espionne et du tueur en train de faire des trucs illégaux.
Mais j'ai malgré tout passé un bon moment. Va comprendre, Charles.
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Oui, puisqu'il s'agit en l'occurrence d'une transformation physique caractéristique d'une soumission à certains canons hollywoodiens transhumanistes. La pauvre devrait plus manger, dirait ma grand-mère.
Cassos Nu
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Oui c'est n'imp et c'est pourquoi j'avais laissé tomber dés le premier épisode, puis on m'a encouragé à persister.Cédric Ferrand a écrit : ↑mar. déc. 17, 2024 1:30 pm
Tu as encore une grosse couleuvre scénaristique à avaler avant la révélation finale qu'on avait tous vue venir qui mène à la prochaine saison.
Le mari de l'héroïne a de la peau de saucisson devant les yeux.
C'est la pire espionne, tout le monde sait qu'elle est espionne.
Et les cadavres s’amoncellent dans les rues de Londres sans que personne ne réagissent.
Avec le réseau CCTV de Londres, il doit exister 10 heures de film de l'espionne et du tueur en train de faire des trucs illégaux.
Mais j'ai malgré tout passé un bon moment. Va comprendre, Charles.
Cassos Nu
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Source... ?
De ce que j'en ai lu (tu m'as vraiment fait aller lire des sites de
Tu t'en rends peut-être pas compte mais tu es en plein body shaming.
Proposer un jeu qui soit au service d’une façon de jouer spécifique et, surtout sans tomber dans le piège de ne pas en permettre d’autre, néanmoins tout inféoder à cette dernière.
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
J'ai regardé le premier épisode de 100 ans de Solitude, sur Netflix, et pour l'instant je suis conquis. Adaptée du roman éponyme de Gabriel Garcia Marquez, elle nous présente les circonstances d'une ville au milieu des marécages d'un pays sud-américain non identifié.
Le fantastique n'est jamais très loin.
Il se passe énormément de trucs dans cette grosse heure, et pour l'instant je ne sais pas du tout où l'histoire va aller (n'ayant pas lu le roman
).
Le fantastique n'est jamais très loin.
Il se passe énormément de trucs dans cette grosse heure, et pour l'instant je ne sais pas du tout où l'histoire va aller (n'ayant pas lu le roman

Sois satisfait des fruit, des fleurs et même des feuilles,
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles.
Ne pas monter bien haut peut-être, mais tout seul.
Si c'est dans ton jardin à toi que tu les cueilles.
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- Florentbzh
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
Mugen a écrit : ↑mer. déc. 18, 2024 8:47 am J'ai regardé le premier épisode de 100 ans de Solitude, sur Netflix, et pour l'instant je suis conquis. Adaptée du roman éponyme de Gabriel Garcia Marquez, elle nous présente les circonstances d'une ville au milieu des marécages d'un pays sud-américain non identifié.
Le fantastique n'est jamais très loin.
Il se passe énormément de trucs dans cette grosse heure, et pour l'instant je ne sais pas du tout où l'histoire va aller (n'ayant pas lu le roman).
J'ai cru comprendre que les fils de GGM ont pris pas mal de liberté avec le roman (on n'est jamais mieux trahi que par les siens, surtout qu'il ne voulait pas d'adaptation de son vivant), mais que l'atmosphère est conservée, ce qui en soi était une gageure.
Pour une fois, je vais peut-être regarder la télévision.

2 Points de CLETCSOOEF par fidélité conjugale (erreur judiciaire qui ferait passer l'affaire Dreyfus pour un fait divers)
- Ganelon
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Re: [Série TV] L'héritage d'AB Productions
KamiSeiTo a écrit : ↑mar. déc. 17, 2024 11:07 pm
Source... ?
De ce que j'en ai lu (tu m'as vraiment fait aller lire des sites de), absolument pas et au contraire elle a beaucoup souffert de remarques comme celles que tu as écrite.
Tu t'en rends peut-être pas compte mais tu es en plein body shaming.
Soit. Mais je ne réserve pas mes piques aux seules femmes, sois-en convaincu. Par ailleurs, juger de la transformation physique de personnes dont le capital cosmétique est partie de leur notoriété ne me semble pas immoral. Il ne me viendrait pas à l'idée de vanter ou dénigrer le physique d'un personnage politique (quoique les pattes sur les tempes de Macron révulsent le coiffeur caché en moi) ou tout simplement médiatique sans rapport avec l'industrie de l'image.
Katharine Hepburn, Charlotte Rampling, Marlène Dietrich ont/eurent des physiques d'aigle propres à leurs propositions esthétique respectives. Keira Knightley, naguère bonne actrice, semble s'être mue en icône taiseuse, voilà tout.
Cassos Nu