Casus Belli - Tempus Fungi (Revue du n°49 janv - février 1989)

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Tristan
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Tristan »

Vociférator a écrit : lun. janv. 02, 2023 1:05 pm @Tristan à propos des aides de jeu Profession : XXX, je suis retombé au gré de mes vieilles lectures sur celle du du CB 53 - Profession Maître du futur antérieur, que je trouve encore très lisible et très à propos avec la nouvelle sortie d'Hawkmoon. Tu accepterais qu'on la scanne et mette à disposition dans le fil Hawkmoon ?

Bien sûr… même si entre nous, j’en ai zéro souvenir. Ca me donnera une occasion de la relire  :D
Arno
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Arno »

Elle était en effet très très bien. A égalité avec « Profession : maître des Runes » à mon goût.
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Vociférator
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Vociférator »

Salut les p'tits clous !

La partie revue d’actualité ayant été réduite à la portion congrue dans la revue du numéro 42 (viewtopic.php?p=2134560#p2134560), j’ai voulu l’enrichir avec un aspect culturel absent des pages de CB mais présent dans les mémoires histoire de mettre un peu de légèreté en ce début d'année pluvieux : sur quoi dansait-on le soir du 31 décembre 1987 ?

J’ai donc repris le classement du Top 50 sur les 4 semaines de décembre 1987, pour en faire une sélection personnelle (forcément arbitraire) et en sortir une playlist plus riche que le générique Gilette de ma revue précédente.

Or donc, en cette fin d’année 1987, on danse d’abord sur des chansons dont on ne comprend aucune parole (n°1 et n°2 respectivement des classements de décembre) :

LOS LOBOS - LA BAMBA
Spoiler:

GIPSY KINGS - BAMBOLÉO / DJOBI DJOBA
Spoiler:

Je mets ensuite mes coups de cœur personnels : l’Apartheid est encore en vigueur en 1987 en Afrique du Sud, JJ Goldman nous offre un super duo avec une jeune chanteuse trop vite et tragiquement disparue quelques mois plus tard :

JOHNNY CLEGG & SAVUKA - SCATTERLINGS OF AFRICA
Spoiler:

SIRIMA ET JEAN-JACQUES GOLDMAN - LÀ-BAS
Spoiler:

SUZANNE VEGA - LUKA
Spoiler:

A Noël en 1987, on a forcément aussi le Dorothée de Noël :

DOROTHÉE - DOCTEUR
Spoiler:

Sinon, le Top 50 est aussi occupé par les grosses machines US, notamment Michael Jackson avec ses clips mémorables :

MICHAEL JACKSON - BAD
Spoiler:

MADONNA - WHO'S THAT GIRL
Spoiler:

MADONNA - LA ISLA BONITA
Spoiler:

GEORGE MICHAEL - FAITH
Spoiler:

Et les grosses machines françaises – je ne suis pas un grand amateur de Johnny mais 1987 était manifestement un bon cru :

JOHNNY HALLYDAY - LAURA
Spoiler:

JOHNNY HALLYDAY - JE TE PROMETS
Spoiler:

FRANCE GALL - ELLA ELLE L'A
Spoiler:

LAURENT VOULZY - MY SONG OF YOU
Spoiler:

JEAN-JACQUES GOLDMAN - ELLE A FAIT UN BÉBÉ TOUTE SEUL
Spoiler:

Et à côté les petits français qui montent, et notamment Mylène Farmer qui faisait elle aussi déjà des clips mémorables :

PATRICIA KAAS - MADEMOISELLE CHANTE LE BLUES
Spoiler:

VANESSA PARADIS - JOE LE TAXI
Spoiler:

MYLÈNE FARMER - SANS CONTREFAÇON
Spoiler:

ou ceux qui ont marqué l’époque mais juste avec un titre :

GUESCH PATTI - ETIENNE
Spoiler:

LÉOPOLD NORD & VOUS - C'EST L'AMOUR
Spoiler:

Mention spéciale aussi pour le titre ci-dessous : Mickael Youn n'a rien inventé quand il s'agit de faire une chanson barrée et qu'elle finisse en tube :

ERIC MORENA - OH! MON BATEAU
Spoiler:

En cette fin 1987, on a aussi nos têtes à claques françaises

PIERRE BACHELET - VINGT ANS
Spoiler:

JEAN-LUC LAHAYE - DÉBARQUEZ-MOI
Spoiler:

Mais les têtes à claques anglo-saxonnes n’ont rien non plus à leur envier !

RICK ASTLEY - NEVER GONNA GIVE YOU UP
Spoiler:

SANDRA - EVERLASTING LOVE
Spoiler:

SABRINA - BOYS
Spoiler:

Bonne semaine à tous avec les airs dans la tête !
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Vociférator
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Vociférator »

Le Casus 43 de BBE (*) pointe son nez, je fais donc chauffer le moteur de la Delorrean pour préparer la prochaine revue du premier Casus de l'année 1988, mais le dernier d'une époque (un très gros changement interviendra en effet sur le numéro 44 suivant). Pour patienter, il vous reste toutes les musiques d'attente indiquées ci-dessus.

(*) j'ai l'impression que même si BBE s'est donné une marge désormais trimestrielle, ils arrivent à tenir un délai moindre depuis qu'ils ont zappé la partie remontée des corrections ?
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senradackod
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par senradackod »

Merci pour ton dépouillement régulier du CB des années 80, et pour ton recensement musical, qui ne me rajeunit pas. Sans vouloir enfoncer le clou, le choix du titre "Débarquez-moi" est particulièrement savoureux et reflétait un sentiment partagé par beaucoup à l'égard de l'artiste concerné...
Je voulais seulement souligner le fait que la qualité visuelle des clips de M. Jackson (je ne dirai rien de la qualité musicale, je n'ai jamais été fan) devait beaucoup au choix des réalisateurs, venus du cinéma : John Landis pour Thriller (il avait réalisé peu avant  le Loup garou de Londres, si je ne m'abuse), et Martin Scorcese pour Bad (excusez du peu).
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Gridal »

Vociférator a écrit : dim. janv. 08, 2023 5:50 pm Mais les têtes à claques anglo-saxonnes n’ont rien non plus à leur envier !
Vociférator a écrit : dim. janv. 08, 2023 5:50 pm SABRINA
Sabrina est italienne monsieur, originaire de la même ville que certains de mes ancêtres :rock

Et je crois que Sandra est française.
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Oneirokritikos »

Sandra est allemande.
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Ravortel »

rôôô, c'est un métier, la critique musicale, hein :D
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Gridal
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Gridal »

:)
Bon on va pas pourrir ton fil @Vociférator, merci pour ces voyages dans le temps et ces critiques des anciens Casus, c'est toujours intéressant.
À chaque fois je peux pas résister, si c'est un numéro que je possède je le sors de son carton et je le feuillette.
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par oneyed jack »

Je bouquinais hier soir ma collection de Casus quand je suis tombé sur cette réponse à la question d'un lecteur qui en gros demandait "Pourquoi les JDR français ont-ils si peu de suppléments ?"
La réponse a plus de 30 ans (numéro de 1991), mais c'est fou comme c'est encore d'actu.

Avec notamment le fait que l'auteur soit moins bien payé que l'illustrateur ou le maquettiste (WTF).
Pas de suppléments donc, par manque de motivation (=manque d'argent). Eh oui sans auteur, rien ne se fait.

Et c'est marrant comme les jeux qui fonctionnent encore le plus sont les mêmes que ceux décrits en fin de paragraphe :)

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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Mole Shaman »

Merci pour ce fil , je n'ai connu Casus Belli en boutique et kiosque qu'avec la V3 (celle parue brièvement au milieu des années 2000)même si j'ai pu acheter quelques numéros des anciennes versions grâce au fil vente. C'est vraiment intéressant de lire les critiques de numéros et la playlist ajoute quelque chose en plus ;) 
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Vociférator »

Merci @Mole Shaman et content de te voir de retour ! J'attends que le CB 43 de BBE soit distribué aux abonnés et je vous publie la revue du CB 43 d'Excelsior, numéro de janvier-février 1988.
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Vociférator »

Le Casus 43 commence à pointer son nez dans les crémeries. Bonne année 1988 donc ! puisque c’est ce sur quoi ouvre ce numéro 43, derrière une couverture de Denis Boras.

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Quoi de beau avec ces premiers mois de janvier – février 1988 ? On peut maintenant relier avec les chroniques des numéros précédents : l’Afghanistan, l’Iran et l’Irak, le Liban vont connaître des dénouements mais nous en reparlerons au fur et à mesure que l’année se déroule. Car en cette année 1988, c’est un autre pays qui va occuper l’actualité, l’Arménie, avec en ces premières semaines de 1988 le début le conflit du Haut-Karabagh, qui perdure toujours malgré la chute l’URSS. Autre conflit naissant avec des répercussions encore très directes, la première Intifada palestinienne qui voit la création du Hamas et qui remet sous les feux de l’actualité l’épineuse question des Territoires Occupés, qui restent malgré les années et les générations encore et toujours des territoires occupés… L’Amérique Centrale est encore une question centrale avec la situation au Nicaragua qu’on avait pu évoquer auparavant, et les tentatives de déstabilisation du gouvernement sandiniste. Le Rideau de Fer reste bien tendu, mais il va aussi commencer à se froisser, préparant ainsi les événements de 1989…

Sous nos latitudes plus franco-françaises, c’est surtout l‘année électorale qui va occuper ce début de 1988 avec les candidatures successives annoncées en ce début d’année de Jacques Chirac puis Raymond Barre. Je pique avec un petit peu d’avance la publicité Descartes de l’époque (on la trouve dans le CB 44) car on retrouve bien l’écho à cette ambiance « politique » de début d’année, avec cette pub qui pastiche les slogans de la campagne électorale qui se profile.

La pub Descartes côté pile

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La version officielle politique côté face

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Et puis tant qu’à anticiper et parler de publicité, je mets aussi la 4ème de couverture de ce CB 43 qui montre aussi qu’on commence à préparer la célébration du bi-centenaire de la Révolution Française qui va marquer l’année 1989 (je garde personnellement pas mal de souvenirs de cet événement).

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Justement que trouve-t-on donc dans le Casus de ce nouvel an ? Même si on est encore dans les frimats de l’Hiver, la saison des Conventions redémarre après la trêve de fin d’année : Salon de Cannes où le jdr est encore très marginal (on en parlera dans le n°44), Jet d’Or à Vitrolles qui draine des centaines de participants, Manu à Nantes, et annonce déjà des dates de la 3ème édition du Salon des Jeux de Réflexion à Paris Porte de Versailles (seule la première édition aura eu lieu au CNIT de La Défense).

Le calendrier des sorties est sage : les éditeurs sortent de la zone des congés de Noël, ainsi que manifestement les porte-monnaies. Les Têtes d’Affiche sont donc éclectiques, avec la revue de Légendes de la Vallée des Rois (avec sa BD !), mais aussi des jeux de plateau comme Dungeonquest chez Games Workshop - jeu suédois (déjà :) ) qui suit le succès de Talisman et qui annonce le futur Heroquest ? -, et Maxi Bourse chez Schmidt dont j’avais parlé précédemment et qui a le droit à une critique dithyrambique ! Le space opera est aussi à l’honneur avec l’excellent Guide de Star Wars (Star Wars Sourecebook, le jeu n’est pas encore traduit), et la 2ème édition d’Empire Galactique dans son format improbable. Dans un Futur (relativement) moins lointain, on trouvera aussi des Têtes d’Affiche pour des suppléments Judge Dredd (Companion), Jorune (Burdoth Ardoth) et même Battletech (Technical Readout 3026). Ces dernières références très confidentielles (qui les a aujourd’hui dans sa ludothèque, et mieux qui les avait à l’époque ?) montrent que le critique Casus n’avait pas grand-chose à se mettre sous la dent !

Heureusement, si la production JDR est relativement peu abondante en ce début d’année, les rubriques Ciné / SF / BD sont raisonnablement fournies : le festival d’Avoriaz aujourd’hui disparu dans les limbes met à l’honneur, en cette année 1988, Robocop, Hellraiser, Princess Bride ou Chinese Ghost Story, même si le Jury va donner son prix contre toute attente à The Hidden (ce film parle encore à qui ?) ; chez M. Wagner, on parlera de Silverberg (L’Etoile des Gitans) et de réédition de K. Dick et Howard (Le temps désarticulé et L’Île des Epouvantes, respectivement). Quant à la BD, c’est aussi l’abondance avec pas mal de séries encore dans les mémoires : XIII (dont le 4ème tome SPADS vient seulement de sortir), Les Tours de Bois Maury, Les Eaux de Mortelune, et même un détour par les comics avec Les Gardiens (The Watchmen en VF dans le texte !).

Mais revenons au JDR : pas de grosse actualité si ce n’est une publicité sur trois pages de Descartes façon générique de début pour annoncer la sortie maintenant imminente de la VF de Star Wars, et Oriflam qui se paye aussi une pub pleine page pour annoncer la sortie prochaine de Hawkmoon (tiens tiens) !! Oriflam encore, où la sortie de la VF de Runequest est aussi mise en lumière avec une critique pleine page sur la base d’une version préparatoire du jeu, mais un tel événement n’attend pas (ça se gâte malheureusement ensuite, accrochez-vous à votre clavier).

Allez, on passe sur les aides de jeu : encore beaucoup de matériel Laelith comme dans le précédent numéro, notamment avec une maison close de luxe et aux charmes spéciaux, et avant de le taxer de recyclage des poncifs masculins des années 1980, on précisera qu’il est rédigé par une rédactrice !! La partie Wargame se pré-occupe d’un loisir qui devient de plus en plus en marginal par rapport à l’explosion du jeu de rôle : si cette partie a encore une pagination conséquente dans les pages de CB, elle se consacre donc dans ce numéro à intensifier la pratique, notamment en favorisant le jeu solo ou par correspondance. Assez amusant pour ce dernier de relire qu’il se limite alors au seul canal possible de l’époque, le courrier papier, et la recherche de partenaires par les Petites Annonces de Casus. Cela dit, les conseils sont beaux et bons, et si cette pratique est certainement tombée en désuétude, elle avait son charme comme le retranscrit très bien l’article. Même si c’est encore assez embryonnaire, et que la rubrique Wargames de ce numéro s’intéresse encore au jeu traditionnel, les rédacteurs pressentent que l’informatique naissante est aussi l’espoir de révolutionner tout ceci ! (on a d’ailleurs une partie Ludotique dans ce numéro qui chronique deux wargames informatiques – Battlefront et Battles in Normandy même si on devine que c’est encore assez rudimentaire…)

Je termine comme d’habitude sur les scénarios qui peuvent justifier que vous acquériez – ou non – cette pièce de collection. Trois propositions pour ce numéro : un AD&D, L’Héritage de Denis Beck, dont j’avais bien aimé la relecture dans le Recueil Laelith de BBE qui l’a repris : l’intrigue qui le sous-tend est un peu tortueuse, et il y a un mini-donjon et de multiples possibilités de fin, même si ça exploite très peu Laelith puisqu’il se déroule en dehors de la Ville Sainte. Un Rêve de Dragon de Denis Gerfaud, mineur, qui vaut surtout par les courses d’escargot qu’il met en scène. Et enfin un Runequest par Guillaume d’Orbeville qu’on pouvait attendre comme la pièce de choix avec la sortie de la VF de Runequest et qui est juste désolant : intrigue nulle, décor gloranthien sans intérêt qui recycle juste les clichés du med fan, c’est lamentable d’avoir passé une telle production, et c’est à décourager des éventuels acquéreurs du jeu. Pour pasticher le résumé dans le sommaire, on trouve un nain borgne, un canard et c’est du Tex Avery. L’illustrateur, Xavier Duvet, rend lui-même hommage à la médiocrité de l’ensemble et je ne résiste pas à vous reproduire son Druzzt pour que vous jugiez vous-même du ratage intégral de la chose…

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Pas étonnant avec de telles représentations que Runequest continue à souffrir de sa réputation d’être un excellent jeu med fan, mais pas crédible parce qu’il y a des canards ! Je rappelle que quelques numéros avant (CB 38), on avait un autre scénario Runequest, notamment du jeune Frédéric Weil qui traînait lui aussi ses guêtres comme le jeune @Tristan , et qui était bien plus respectueux et ancré dans la mythologie Runequest (même si son développement n’était pas foufou).

Au final, pas un numéro très mémorable (*) : pour faire durer le teaser, le changement est en effet à venir avec le numéro 44 !

(*) si le numéro vous a quand même donné envie de l'ajouter dans votre collection, il est trouvable à 5 € sur Rakuten.
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senradackod
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par senradackod »

Cher Monsieur Vociferator,

Merci pour cette dissection du numéro 43. Je trouve l'allusion publicitaire de Jeux Descartes à la situation électorale fort maligne. Tu nous replonges dans notre folle jeunesse, et ça fait grand bien.  
Mais je m'insurge ! :grmbl:
En homme de goût, tu ne peux décemment pas passer à côté de The hidden, bijou du cinéma fantastique de cette année-là, que je place bien au-dessus d'un Robocop fort surestimé, comme nombre de films de Paul Verhoeven (non, ne tapez pas !), ou d'un Hellraiser très démodé.
Et puis, le héros improbable en est Kyle MacLachlan, icône lynchienne, jeune et mystérieux. Rien que pour lui, ce film mérite toute ton attention (non, je ne suis pas objectif). :P
Tristan
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Re: Casus Belli - Tempus Fungi

Message par Tristan »

Un "Le saviez-vous ?" de bon matin :

le 43 est le dernier Casus où mon nom n'apparaît nulle part.

A partir du 44 et jusqu'à la fin, j'ai été présent dans tous les numéros suivants (hors-série mis à part).
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